Cet article Blank Title #21 : la playlist des nouveautés de juin 2017 est apparu en premier sur Le Bombardier.
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Il est Vilaine
“Rocket”
Lumière Noire Records
Le duo le plus vilain de la capitale n’a cessé de nous surprendre depuis son premier maxi en 2014. “Rocket” est le premier extrait de leur prochain EP La Regla Del Juego à paraître le 7 juillet. Ils seront en concert le 25 août à La Machine en compagnie d’Apollo Noir et d’Ivan Smagghe (event).
Bloum
“Cashback”
Animal Records
Bloum revient avec un nouveau single “Cashback”, qui parlera à tous les musiciens et que nous dédicaçons gaiement à tous les gérants de bars, salles et clubs de Paris et d’ailleurs.
La Mverte
“The Inner Out”
Tech Noir, Her Majesty’s Ship
Premier extrait de son premier album à paraître cette année, La Mverte reste droit dans ses chaussures et dans son univers pour notre plus grand plaisir.
Bonnie Li
“Mallory”
Icons Creating Evil Art
Bonnie Li remet à jour le trip-hop avec son nouveau single “Mallory”, enveloppant et envoûtant.
The Horrors
“Machine”
Wolf Tone Limited
The Horrors dévoilent “Machine”, un premier extrait fascinant de leur prochain album V à paraître le 22 septembre prochain. The Horrors seront en concert le 8 juillet à l’occasion du Fnac Live Festival.
Otzeki
“True Love”
Discophorus
Le duo sort un nouveau single alliant mélancolie et puissance. Otzeki sera en concert le 7 juillet à l’occasion du Fnac Live Festival.
Todd Terje
“Maskindans (feat. Det Gylne Triangel)”
Olsen Records
Le talentueux Todd Terje est de retour avec un EP autour du nouveau morceau “Maskindans” en featuring avec Det Gylne Triangel, puissant et redoutable.
Irène Drésel
“Rita” , Rita
Autoproduit
Diplômée des Beaux-Arts de Paris, Irène Drésel a choisi la campagne pour composer des morceaux à la fois hypnotiques et efficace. Son EP commence avec Rita, une prière à Sainte-Rita, patronne des causes désespérées. Irène Drésel sera en concert à l’occasion du Fnac Live Festival le 7 juillet.
La Fraicheur & Leonard de Leonard
“Afraid Of The Groove”, Afraid Of The Groove
Bottom Forty
La Fraicheur et Leonard de Leonard s’associent pour “Afraid Of The Groove”, morceau parfait pour faire monter la température de quelques degrés supplémentaires sur le dancefloor.
Ezechiel Pailhès
“Éternel Été”, Tout va bien
Circus Company
“Éternel Été” se révèle sans l’ombre d’un doute le morceau parfait pour cette saison.
Doldrums
“Limerence (We Come In Pieces)”, Esc
Doldrums Music
On était tombés amoureux de The Air Conditioned Nightmare en 2015. Doldrums est de retour avec avec “Esc” son nouvel album, aussi percutant que le précédent.
James McAlister, Bryce Dessner, Sufjan Stevens, Nico Muhly
“Jupiter”, Planetarium
4AD
Ces quatre-là ont signé avec Planetarium l’un des plus beaux albums de cette année. La preuve avec “Jupiter” à la fois fort et sensible. Ils seront en concert le 10 juillet à la Philarmonie de Paris.
Jean-Claude Bouvet, Steve Malone (Zombie Zombie Remix)
“Radium One”, Tele Music Reinterpretations
Tele Music
Morceau remixé pour la compilation Tele Music Reinterpretations, Zombie Zombie nous offre un court voyage empreint de magie.
M.I.L.K (Leisure Remix)
“U and Me”
Good News Aps
Les néo-zélandais de Leisure ont remixé “U and Me” de M.I.L.K en y ajoutant leur touche funky que l’on apprécie tant.
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]]>Derrière ces 4 lettres mystérieuses, un quatuor-club mené par les deux têtes pensantes David Shaw et Bertrand Lacombe. Le premier est originaire de Manchester, le deuxième de Bordeaux et ont commencé leur collaboration sur scène pour David Shaw and The Beat. Entre l’alchimie de leurs univers musicaux respectifs et leur complémentarité en studio comme sur scène, DBFC est né.
C’est d’ailleurs à cet endroit précis que DBFC prend tout son sens. En envoyant leurs morceaux électro-rock où hommes et machines se répondent dans un joyeux bordel, le groupe cherche à faire ressentir à son public un état de transe générale : un moment où le temps se suspend à la boule à facette et où plus rien ne compte.
New Order, Happy Mondays, LCD Soundsystem, The Chemical Brothers : citez-les tous. Cachés derrière leurs lunettes noires, les DBFC signent avec “Jenks” un album universel destiné à quiconque voudra bien entendre ce message de liberté. Un album qui décomplexe notre époque et dont on avait fort besoin.
Nous les avons rencontrés à l’occasion de leur concert à la Maroquinerie le 31 mai dernier afin d’en apprendre davantage sur la composition de cet album.
Bertrand Lacombe : On a pu tester nos morceaux en live.
David : Le meilleur test est sur scène. On a un album qui sonne du début jusqu’à la fin. Ce n’était pas prémédité, c’est plutôt en effet un cheminement normal. Ce n’est pas pour dire qu’on fonctionne à l’ancienne mais c’est cool de faire de la scène et de pouvoir tester les morceaux avant de les revoir en studio. Pour conclure, tu peux passer beaucoup de temps en studio et te retrouver sur scène avec des morceaux qui sont un enfer à jouer.
Bertrand : Il faut raconter que la scène de Manchester a tout une histoire et ce qu’on aime c’est le moment où il y a eu cette rencontre entre la house music et le rock. Ça s’est fait dans le temps, sur 10-15 ans.
David : Et ce n’est pas lié qu’à Manchester.
Bertrand : Nous ce qu’on aime, plus que de dire qu’on fait du “Manchester”, c’est un état d’esprit qui réussit à faire cohabiter ces différents styles, les marier et jouer avec.
Il y a énormément de choses dans cet album qui sont un résultat d’événements tragiques qu’on a tous vécus et d’autres plus personnels pendant cette période d’écriture.
Un jour on était tous les deux dans le studio et on a eu ce moment où tu débordes d’émotions, où tu as les yeux gorgés d’eau et on s’est dit “il faut qu’on s’aime là”. Ça paraît peut-être naïf, con ou ce que tu veux mais c’est finalement le truc qui te rattache à la fin de la journée. Si tu n’as pas d’empathie, si tu n’as pas d’amour, ce sont des thèmes universels, ce sont des trucs dont toutes les chansons parlent tout le temps mais c’est notre point de vue.
Bertrand : C’est vrai que faire cet album ça nous a beaucoup aidé finalement. C’est à dire qu’on est passés à travers tout ça.
C’était un exutoire pour nous.
On n’en parle jamais directement mais on s’en est vraiment imprégnés.
Bertrand : Sur cet album, même si plusieurs morceaux peuvent paraître plus formatés que d’autres, il y en a de 3-4 minutes dans un format plus pop et d’autres durent jusqu’à 8 minutes dans un format plus déconstruit. Mais quoi qu’il arrive il y a quelque chose dans la composition et dans l’écriture de très spontané. C’était important pour nous, ça nous fait kiffer.
David : Les gens nous font souvent la remarque que la musique qu’on fait a l’air très facile.
C’est très facile parce que ça marche entre nous.
La réalité qu’on se surprend constamment depuis notre rencontre. Il n’y a jamais de moment où on ne sent pas ce que fait l’autre.
En France, il y a plus une culture de la fête.
Dans un concert, il faut que les gens tapent dans leurs mains, qu’ils tapent du pied. En Angleterre tu sens davantage la culture et l’écoute. Ce qui nous fait délirer, c’est de jouer n’importe où, dans n’importe quel pays et n’importe quelle ville et de choper des gens et de les amener avec nous. Peu importe qui on a devant nous.
Bertrand : On n’a plus de Oasis aujourd’hui.
David : Oui voilà, des trucs dans cette tradition, des Led Zep, des Iggy Pop. On est plus dans des groupes qui font des super trucs mais parce que notre époque, parce que fucking Internet en fait.
Bertrand : Et c’est aussi cyclique, j’ai un souvenir en France notamment à la fin des années 90 où le rock était fini, tout le monde ne jurait que par la French Touch. Tout d’un coup les Strokes sont arrivés avec leur album et tout le monde a halluciné. Du coup il y a eu un retour du rock. Je ne crois pas trop à la fin du rock.
Aujourd’hui dans la musique électronique, il y a un espace de revival où des gens ont l’impression qu’il y a des choses neuves alors qu’en fait c’est juste un recyclage de ce qui s’est fait il y a 20 ans.
C’est comme ça, la musique est cyclique et peut être qu’il y a un peu moins de groupes phénoménaux qui vont mettre parterre le monde entier mais ça arrivera peut être demain, je ne sais pas.
David : Bah voilà, c’est nous, c’est juste une question de temps. On assume.
Bertrand : Pff! Alors ça, mais vraiment… La basse.
Bertrand : Justement dans les derniers groupes rock, formation basse batterie guitare très simple, qui je trouve a apporté quelque chose de frais c’est Girl Band.
David : Ah oui! Bien sûr!
Bertrand : Parfois c’est tellement violent, c’est du bruit, mais il y a un truc dans ce groupe et dans ce qu’ils proposent que j’ai trouvé hyper frais un peu comme SUUNS justement ou The Oh Sees. On peut encore apporter et proposer des choses originales.
Un petit mot sur vos derniers clips, “Jenks” et “Disco Coco”?
Bertrand : On va faire un autre clip sur “Disco Coco” mais cette première vidéo nous a bien fait marrer. Je pense que dans la musique et dans l’art en général il faut toujours tracer une ligne droite dans ton concept et dans ton idée. Il doit y avoir quelque chose de spontané et qui résonne. La vidéo de “Disco Coco” s’est faite en deux secondes avec un iPhone et Boomrang mais l’idée du clip et ce que ça dégage correspond au morceau.
David : On n’était pas partis pour faire ça mais Marco Dos Santos est un super pote à nous, super photographe et réalisateur, super artiste, on le dit. Il n’y avait aucune prétention. Pour “Jenks”, on avait toute une idée à la base qu’on voulait et qui était importante pour nous et on est tombés sur quelqu’un qui n’a pas fait le clip pour nous mais pour lui.
Poni Hoax c’est le groupe français dont on se sent le plus proche finalement.
On se sent plus proche d’eux que de Air, c’est sûr et certain.
David : C’est clair. Même si on ne fait pas forcément la même musique mais on préfère la démarche et les morceaux. Le premier album de Poni Hoax est super mais le deuxième est juste incroyable. Et bosser avec Fred ça a été un plaisir. Il a saisit notre vision, il est venu avec la sienne et il y a un eu super dialogue parce qu’il est aussi passionné que nous.
Bertand : C’est quelqu’un de doux qui a su canaliser notre énergie.
David : Et il a des yeux magnifiques. On finira là-dessus : le regard de Fred Soulard. Ça c’est de la conclusion.
Photo à la une : Jakob Khrist
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]]>Cet article Noyades, plutôt deux fois qu’une est apparu en premier sur Le Bombardier.
]]>Avis aux amateurs d’assemblages en tous genres. Composé de 7 morceaux, le premier album de Noyades est un flux ininterrompu de musique noise-rock, psychédélique, métal, drone ou encore punk. Si la vitesse est au rendez-vous, elle appelle aussi à une certaine vigueur de ses musiciens, Cyril Meysson à la guitare, Vincent Cuny à la basse et Jessy Enselat à la batterie. De ces instruments qui semblent se répondre de façon si évidente, découle un état de transe déroutant, non loin de l’asphyxie. Noyades dites-vous? Pas de frayeur à se faire cependant, le trio nous offre aussi des moments de répit dans cette course frénétique contre le temps. Frais et impressionnant, Go Fast s’avère être le meilleur substitut à vos 15 cafés quotidiens. On se l’écoute en intégralité ci-dessous.
Noyades en concert :
11 mai : + Oiseaux Tempête, L’Effondras & Guests @ Trabendo, Paris (event)
13 mai : @ B-Face Festival, Grenoble
30 juin : @ TBA, Lyon
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]]>Cet article En écoute : Modern Life, Vol. 1, le nouveau disque pop de Satellite Jockey est apparu en premier sur Le Bombardier.
]]>Des disques pop, il en sort des bons quasiment toutes les semaines. Des disques pop sur lesquels on est sûrs de reprendre notre pied 10 ans après comme à la première écoute, il y en a clairement moins. Cet album de Satellite Jockey en fait déjà résolument parti.
D’abord piloté depuis Brest par Rémi Richarme, c’est à Lyon que le groupe prend sa forme actuelle et son essor. Six musiciens dont certains se sont déjà fait remarqués (Kcidy, François Virot et Sierra Manhattan) œuvrant à la tâche souvent risquée de composer une musique pop insouciante et novatrice, loin des clichés qui la caractérisent. En cela, Modern Life, Vol. 1 est un disque composé de onze morceaux qui traversent un spectre large d’émotions. On lui notera quelques points culminants comme le majestueux “Opacity” ou le délicat “United Nations”. Brodé avec soin et avec le recours d’influences plutôt bien digérées : d’inspirations 60’s et 70’s bien sûr, des Kinks certainement et de David Bowie probablement. Le sextuor lyonnais est parvenu à concevoir un album pour les moments hors du temps, les heureux comme les plus mélancoliques, mais surtout ceux où l’on apprécie prendre un peu de hauteur. Le pari réussi d’une envolée spatiale sans encombre.
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]]>Cet article Dukes Of Paris : “On a constaté qu’on était un groupe électro” est apparu en premier sur Le Bombardier.
]]>Fondé par Popy (guitare, chant, machines), également guitariste de No One Is Innocent depuis Propaganda, et de Brice (batterie, chant), leur esprit grunge inspire des titres pop/rock et électroniques dans la lignée de Phoenix et de Shakaponk. De leurs influences qui vont des Deftones à Smashing Pumpkins en passant par Pink Floyd ou Nirvana, le duo puise une énergie que rien ne semble arrêter.
Avec ces mélodies pop et sucrées, la question de la musique électronique comme support d’une formation rock vient nous effleurer. Si à priori les basses et autres synthés qui habillent le son des Dukes Of Paris ne partent pas d’une volonté mais d’une nécessité, il est tout de même intéressant de noter la place prépondérante qu’elle prend dans le projet. Quoi qu’il en soit, Dukes Of Paris nous entraînent avec des morceaux qui mêlent refrains pop, furieuse énergie rock et électronique dansante, de quoi en profiter pleinement à l’occasion de leur prochain concert le 18 mai à La Boule Noire avec l’excellente compagnie de Das Mörtal.
Blank Title en a bien évidemment profité pour leur poster quelques questions.
On a un esprit grunge qui bave surtout en concert.
Brice : On a constaté qu’on était un groupe électro.
On aime bien l’efficacité des chansons. Parvenir à une structure de chanson qui marche vraiment bien, c’est le plus difficile.
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]]>Cet article David Douglas : “Nous avons besoin d’aimer ce qui se trouve autour de nous” est apparu en premier sur Le Bombardier.
]]>Pour donner naissance à ce nouvel album, David Douglas s’est enfermé quelques mois dans son studio. Son idée n’était plus d’explorer la lune mais de créer une bande-son pour l’univers, un programme ambitieux. Sur Spectators Of The Universe, David Douglas continue à mêler son amour pour la nature à la musique électronique. Inspiré par les œuvres astrologiques et par son homonyme du 18e siècle qui était explorateur et naturaliste, David Douglas version contemporaine s’évertue à pérenniser ce mode de pensée. En résulte un album au son interstellaire qui a pour objectif de nous rappeler la beauté de l’univers. Musicalement, cela se traduit par pour un voyage technicolor avec une alternance de sons psychédéliques et électroniques, des vagues de textures organiques en parallèle à de vastes paysages. Avec Spectators Of The Universe, David Douglas continue de repousser les limites de son propre univers musical pour notre plus grand bonheur.
Nous avons profité de son récent passage par la capitale parisienne à la Maroquinerie en première partie de Weval pour lui demander comment devenir le meilleur spectateur de l’univers.
La musique et le cinéma ont toujours été deux moyens de m’exprimer.
J’ai acheté mon premier synthé à l’âge de 23 ans et c’est à partir de ce moment-là que j’ai découvert comment faire de la musique électronique avec des synthés.
Il faut regarder notre belle Terre et la nature plutôt que se concentrer sur les religions et imaginer que nous sommes au centre de la création.
Si absolument. Je pense que si nous regardons tous au même moment les étoiles et que nous voyons la beauté de l’univers, alors nous serons plus conscients de ce qui nous entoure. On pourrait faire quelque chose. C’est le sens de Spectators Of The Universe.
Cet article David Douglas : “Nous avons besoin d’aimer ce qui se trouve autour de nous” est apparu en premier sur Le Bombardier.
]]>Cet article Weval revient sur la sortie de son premier album éponyme est apparu en premier sur Le Bombardier.
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Harm Coolen : C’est bizarre en fait. Pour nous c’est un peu une conclusion de tout ce qu’on a pu faire par le passé depuis la sortie de notre premier EP. Maintenant qu’il va enfin sortir, on est très excités.
Harm : C’est la première fois que l’on s’est vraiment installés en studio et cela nous a permis de prendre notre temps, on a mis un an pour le préparer. On compose la plupart du temps ensemble, on peut travailler aussi seul dans notre coin et se soumettre nos idées par la suite.
Merijn Scholte : Oui c’est vrai. On était plutôt sur des idées fortes au départ, donner un côté plus edgy à notre son, plus assumé, de plus fort. Pour nos influences, ce sont des chansons que nous écoutons actuellement ou des sons anciennement digérés.
Merijn : On travaille en ce moment avec un batteur et ça rend les choses différentes.
On se permet aussi d’improviser de plus en plus en direct, pour nous ça fait partie du challenge de proposer quelque chose de différent à chaque concert. Il y a ce côté où l’on se sent comme vulnérable par rapport au public et cette adrénaline est géniale.
Merijn : On a peut-être des plans mais on ne peut pas en dire plus.. Mais on aimerait vraiment, le public est enthousiaste à Paris et danse plus qu’à Amsterdam.
Merijn: Oui nous jouons également avec Applescal. On est très contents de travailler avec eux bien qu’on ne se rend pas vraiment compte de faire partie d’une scène, on n’a pas assez de recul.
Merijn : Oh, on nous a appelé pour nous inviter à un dîner plutôt cosy et le lendemain on s’est mis à bosser!
Weval est disponible en streaming :
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