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]]>Intitulé Jolly New Songs et annoncé comme l’album de leur révélation, on peut déjà s’en faire une idée avec le premier single extrait, “To Me” – morceau qui produit instantanément l’effet d’un vent chaud, comme le calme avant la tempête.
“Jolly New Songs” sera disponible le 27 octobre via Blue Tapes et X-Ray Records.
Trupa Trupa seront en concert en France :
27/10/17, Festival SOY, Nantes
28/10/17, Rockomotives Festival, Vendôme
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En cinq ans d’existence, le quintet s’est permis d’affiner son identité sonore dans les moindres détails. Le rock vous ennuie? Divergences internes ou multiples influences, The Cats Never Sleep ne propose pas un seul morceau identique sur son album. On pourra donc se prélasser sur les sensuels “Kinshasa Düsseldorf” et “Parasol”, s’évader sur “Les Cow – Boys” en français, pogoter sur l’énergique et instrumental “Vishnou” et si vous n’êtes pas encore convaincus, rendez-vous sur le déchaîné “Hummus”.
Choisissez donc votre ambiance favorite et laissez-vous faire, The Cats Never Sleep s’occupent de tout.
Massage est disponible via Le Pop Club Records.
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]]>Derrière ces 4 lettres mystérieuses, un quatuor-club mené par les deux têtes pensantes David Shaw et Bertrand Lacombe. Le premier est originaire de Manchester, le deuxième de Bordeaux et ont commencé leur collaboration sur scène pour David Shaw and The Beat. Entre l’alchimie de leurs univers musicaux respectifs et leur complémentarité en studio comme sur scène, DBFC est né.
C’est d’ailleurs à cet endroit précis que DBFC prend tout son sens. En envoyant leurs morceaux électro-rock où hommes et machines se répondent dans un joyeux bordel, le groupe cherche à faire ressentir à son public un état de transe générale : un moment où le temps se suspend à la boule à facette et où plus rien ne compte.
New Order, Happy Mondays, LCD Soundsystem, The Chemical Brothers : citez-les tous. Cachés derrière leurs lunettes noires, les DBFC signent avec “Jenks” un album universel destiné à quiconque voudra bien entendre ce message de liberté. Un album qui décomplexe notre époque et dont on avait fort besoin.
Nous les avons rencontrés à l’occasion de leur concert à la Maroquinerie le 31 mai dernier afin d’en apprendre davantage sur la composition de cet album.
Bertrand Lacombe : On a pu tester nos morceaux en live.
David : Le meilleur test est sur scène. On a un album qui sonne du début jusqu’à la fin. Ce n’était pas prémédité, c’est plutôt en effet un cheminement normal. Ce n’est pas pour dire qu’on fonctionne à l’ancienne mais c’est cool de faire de la scène et de pouvoir tester les morceaux avant de les revoir en studio. Pour conclure, tu peux passer beaucoup de temps en studio et te retrouver sur scène avec des morceaux qui sont un enfer à jouer.
Bertrand : Il faut raconter que la scène de Manchester a tout une histoire et ce qu’on aime c’est le moment où il y a eu cette rencontre entre la house music et le rock. Ça s’est fait dans le temps, sur 10-15 ans.
David : Et ce n’est pas lié qu’à Manchester.
Bertrand : Nous ce qu’on aime, plus que de dire qu’on fait du “Manchester”, c’est un état d’esprit qui réussit à faire cohabiter ces différents styles, les marier et jouer avec.
Il y a énormément de choses dans cet album qui sont un résultat d’événements tragiques qu’on a tous vécus et d’autres plus personnels pendant cette période d’écriture.
Un jour on était tous les deux dans le studio et on a eu ce moment où tu débordes d’émotions, où tu as les yeux gorgés d’eau et on s’est dit “il faut qu’on s’aime là”. Ça paraît peut-être naïf, con ou ce que tu veux mais c’est finalement le truc qui te rattache à la fin de la journée. Si tu n’as pas d’empathie, si tu n’as pas d’amour, ce sont des thèmes universels, ce sont des trucs dont toutes les chansons parlent tout le temps mais c’est notre point de vue.
Bertrand : C’est vrai que faire cet album ça nous a beaucoup aidé finalement. C’est à dire qu’on est passés à travers tout ça.
C’était un exutoire pour nous.
On n’en parle jamais directement mais on s’en est vraiment imprégnés.
Bertrand : Sur cet album, même si plusieurs morceaux peuvent paraître plus formatés que d’autres, il y en a de 3-4 minutes dans un format plus pop et d’autres durent jusqu’à 8 minutes dans un format plus déconstruit. Mais quoi qu’il arrive il y a quelque chose dans la composition et dans l’écriture de très spontané. C’était important pour nous, ça nous fait kiffer.
David : Les gens nous font souvent la remarque que la musique qu’on fait a l’air très facile.
C’est très facile parce que ça marche entre nous.
La réalité qu’on se surprend constamment depuis notre rencontre. Il n’y a jamais de moment où on ne sent pas ce que fait l’autre.
En France, il y a plus une culture de la fête.
Dans un concert, il faut que les gens tapent dans leurs mains, qu’ils tapent du pied. En Angleterre tu sens davantage la culture et l’écoute. Ce qui nous fait délirer, c’est de jouer n’importe où, dans n’importe quel pays et n’importe quelle ville et de choper des gens et de les amener avec nous. Peu importe qui on a devant nous.
Bertrand : On n’a plus de Oasis aujourd’hui.
David : Oui voilà, des trucs dans cette tradition, des Led Zep, des Iggy Pop. On est plus dans des groupes qui font des super trucs mais parce que notre époque, parce que fucking Internet en fait.
Bertrand : Et c’est aussi cyclique, j’ai un souvenir en France notamment à la fin des années 90 où le rock était fini, tout le monde ne jurait que par la French Touch. Tout d’un coup les Strokes sont arrivés avec leur album et tout le monde a halluciné. Du coup il y a eu un retour du rock. Je ne crois pas trop à la fin du rock.
Aujourd’hui dans la musique électronique, il y a un espace de revival où des gens ont l’impression qu’il y a des choses neuves alors qu’en fait c’est juste un recyclage de ce qui s’est fait il y a 20 ans.
C’est comme ça, la musique est cyclique et peut être qu’il y a un peu moins de groupes phénoménaux qui vont mettre parterre le monde entier mais ça arrivera peut être demain, je ne sais pas.
David : Bah voilà, c’est nous, c’est juste une question de temps. On assume.
Bertrand : Pff! Alors ça, mais vraiment… La basse.
Bertrand : Justement dans les derniers groupes rock, formation basse batterie guitare très simple, qui je trouve a apporté quelque chose de frais c’est Girl Band.
David : Ah oui! Bien sûr!
Bertrand : Parfois c’est tellement violent, c’est du bruit, mais il y a un truc dans ce groupe et dans ce qu’ils proposent que j’ai trouvé hyper frais un peu comme SUUNS justement ou The Oh Sees. On peut encore apporter et proposer des choses originales.
Un petit mot sur vos derniers clips, “Jenks” et “Disco Coco”?
Bertrand : On va faire un autre clip sur “Disco Coco” mais cette première vidéo nous a bien fait marrer. Je pense que dans la musique et dans l’art en général il faut toujours tracer une ligne droite dans ton concept et dans ton idée. Il doit y avoir quelque chose de spontané et qui résonne. La vidéo de “Disco Coco” s’est faite en deux secondes avec un iPhone et Boomrang mais l’idée du clip et ce que ça dégage correspond au morceau.
David : On n’était pas partis pour faire ça mais Marco Dos Santos est un super pote à nous, super photographe et réalisateur, super artiste, on le dit. Il n’y avait aucune prétention. Pour “Jenks”, on avait toute une idée à la base qu’on voulait et qui était importante pour nous et on est tombés sur quelqu’un qui n’a pas fait le clip pour nous mais pour lui.
Poni Hoax c’est le groupe français dont on se sent le plus proche finalement.
On se sent plus proche d’eux que de Air, c’est sûr et certain.
David : C’est clair. Même si on ne fait pas forcément la même musique mais on préfère la démarche et les morceaux. Le premier album de Poni Hoax est super mais le deuxième est juste incroyable. Et bosser avec Fred ça a été un plaisir. Il a saisit notre vision, il est venu avec la sienne et il y a un eu super dialogue parce qu’il est aussi passionné que nous.
Bertand : C’est quelqu’un de doux qui a su canaliser notre énergie.
David : Et il a des yeux magnifiques. On finira là-dessus : le regard de Fred Soulard. Ça c’est de la conclusion.
Photo à la une : Jakob Khrist
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]]>Avis aux amateurs d’assemblages en tous genres. Composé de 7 morceaux, le premier album de Noyades est un flux ininterrompu de musique noise-rock, psychédélique, métal, drone ou encore punk. Si la vitesse est au rendez-vous, elle appelle aussi à une certaine vigueur de ses musiciens, Cyril Meysson à la guitare, Vincent Cuny à la basse et Jessy Enselat à la batterie. De ces instruments qui semblent se répondre de façon si évidente, découle un état de transe déroutant, non loin de l’asphyxie. Noyades dites-vous? Pas de frayeur à se faire cependant, le trio nous offre aussi des moments de répit dans cette course frénétique contre le temps. Frais et impressionnant, Go Fast s’avère être le meilleur substitut à vos 15 cafés quotidiens. On se l’écoute en intégralité ci-dessous.
Noyades en concert :
11 mai : + Oiseaux Tempête, L’Effondras & Guests @ Trabendo, Paris (event)
13 mai : @ B-Face Festival, Grenoble
30 juin : @ TBA, Lyon
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]]>Pour participer :
Plus d’infos sur l’event :
https://www./events/239324909810765/
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Si Seketa s’inscrivait dans une atmosphère downtempo, Backbone a décidé de changer de recette ou du moins de mode de composition pour ce nouvel EP. Plus loin de l’ordinateur et plus proches de leurs envies, la liberté s’impose comme fil conducteur de ces quatre nouveaux morceaux. Une recherche de spontanéité prisée par le quatuor sans pour autant lâcher du lest sur les arrangements sonores. Ainsi, l’on retrouve dans cet EP des morceaux aux sensibilités différentes, électroniques mais aussi rock, new-wave ou encore R’n’B. Le tout fusionne avec une simplicité étonnante. Il est en tout cas certain que Backbone s’est fait plaisir et souhaite le transmettre au plus grand nombre.
Backbone joue demain soir au Silencio pour la release party de Millioke. C’est gratuit, il suffit de cliquer sur l’onglet “J’y vais” sur l’event afin d’être ajouté sur la liste.
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]]>Fondé par Popy (guitare, chant, machines), également guitariste de No One Is Innocent depuis Propaganda, et de Brice (batterie, chant), leur esprit grunge inspire des titres pop/rock et électroniques dans la lignée de Phoenix et de Shakaponk. De leurs influences qui vont des Deftones à Smashing Pumpkins en passant par Pink Floyd ou Nirvana, le duo puise une énergie que rien ne semble arrêter.
Avec ces mélodies pop et sucrées, la question de la musique électronique comme support d’une formation rock vient nous effleurer. Si à priori les basses et autres synthés qui habillent le son des Dukes Of Paris ne partent pas d’une volonté mais d’une nécessité, il est tout de même intéressant de noter la place prépondérante qu’elle prend dans le projet. Quoi qu’il en soit, Dukes Of Paris nous entraînent avec des morceaux qui mêlent refrains pop, furieuse énergie rock et électronique dansante, de quoi en profiter pleinement à l’occasion de leur prochain concert le 18 mai à La Boule Noire avec l’excellente compagnie de Das Mörtal.
Blank Title en a bien évidemment profité pour leur poster quelques questions.
On a un esprit grunge qui bave surtout en concert.
Brice : On a constaté qu’on était un groupe électro.
On aime bien l’efficacité des chansons. Parvenir à une structure de chanson qui marche vraiment bien, c’est le plus difficile.
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]]>Cet article Blank Title #18 : les meilleures nouveautés de mars 2017 est apparu en premier sur Le Bombardier.
]]>La playlist Blank Title #18 est disponible sur Apple Music, Spotify, Deezer, SoundCloud et YouTube. Retrouve toutes nos playlists sur Soundsgood.
Kelly Lee Owens
Smalltown Supersound
On vient fraîchement de l’interviewer (à lire ici), Kelly Lee Owens est certainement dans nos coups de cœur de ce mois. Son premier album éponyme vient de sortir et elle sera en concert au Badaboum le 20 avril. Be there.
Atom From Heart
Mouton Noir Records
On l’avait attendu longtemps ce premier album du duo rouennais Christine. Il est désormais disponible sur leur propre label Mouton Noir et c’est un régal pour les oreilles. Leur Interview est à lire ici.
From Deewee
Deewee
En matière d’attente et de teasing, on ne peut pas faire mieux que Soulwax. Après 12 ans d’attente, les frères Dewaele dévoilent From Deewee, un album enregistré en une prise. La claque du mois, définitivement.
JOHN AND THE VOLTA
Low Life
Rouge Neon
Le bordelais vient de sortir son premier album. Entre romantisme, énergie sensuelle et tourmentée, le tout avec quelques airs d’IAMX, Low Life se cramponne à nos oreilles pour un plaisir immédiat. Il sera en concert le 3 mai au Pop-Up du Label pour la Release party de l’album.
MARC HOULE
Sinister Mind
Items & Things
Le producteur canadien Marc Houle revient avec son nouvel album. L’esprit sinistre est justement de mise si l’on aime se perdre dans les méandres de sa techno sombre et lugubre. A déguster.
JOAKIM
Samurai
Tigersushi / Because Records
Désormais installé à New York, le boss du label Tigersushi a sorti Samurai, son album le plus abouti musicalement mais aussi le plus libre artistiquement parlant. On l’a interviewé le mois dernier pour en savoir davantage sur sa création, c’est à lire ici.
SNEAKS
It’s A Myth
Merge Records
Sneaks est le projet solo de l’américaine Eva Moolchan, chanteuse et bassiste. Ou l’art de nous envoyer 10 morceaux en 18 minutes top chrono. Bien joué.
MASSY INC.
3349
3h50
Autrefois connus sous le nom de Tante Hortense, Stéphane Massy et sa bande reviennent sous le nom de Massy Inc., subtil mélange de pop et d’électronique, le tout en français. Pour faire l’amour ou pour faire la fête. Ou les deux en même temps. Massy Inc. jouera dans le cadre de leur Release Party le 7 avril au FGO-Barbara.
Unset
Infiné
Il nous avait séduit en première partie d’Aufgang au Flow il y a quelques mois. Le producteur parisien est de retour et nous offre Some Revelation, premier extrait de son EP Unset à paraître le 17 avril.
HOWLING
Phases
Counter Records
Le duo allemand s’était fait remarqué en sortant son premier album Sacred Ground en 2015. Ils sont de retour avec un nouveau single toujours aussi envoutant.
ENTSCHULDIGUNG
Gina
World Up Records
Attention à ne pas écorcher leur nom! Pour les curieux, cela signifie “excuse” dans la langue de Goethe. Qu’ils ne s’excusent pas d’avoir trouvé comment nous faire danser.
FEMME FRACTALE
Komodo
autoproduction
On les a présentés il y a tout juste quelques jours à l’occasion de leur dernier concert à la Marbrerie. On se lasse pas de cet EP, délice pour les amateurs de chansons en français et d’expérimentation en tout genre. On attend la suite!
EMPEREUR
Everyday’s Death & Ressurection
Le Turc Mécanique / Casbah Records
Et boum. Pour une fin de playlist explosive, un extrait issu de la dernière bombe concoctée par Le Turc Mécanique. Ils seront en concert le 26 mai au Supersonic avec Soviet Soviet et Scaffolder.
Departures
Thrills & Beats Records
Il nous avait manqué. Désormais installé à Tokyo, le producteur originaire de Strasbourg nous avait charmé avec son premier album Soundtrack Of A Night puis re-charmé avec son dernier EP Insomnia paru fin 2016. Puisqu’il s’y connaît bien en voyages, il a remixé Departures, extrait de l’album au même nom de Yann Dulché. C’est plus que de la drague.
CANTER / MELANOBOY
Red Heather
Tonn Records
MelanoBoy a fait ses premières armes en 2015 en sortant son premier album From Dust sur Unknown Pleasures Records. Avec ce nouveau remix des Canter, le producteur parisien nous assure 4 minutes de sons torturés et ténébreux.
LA JUNGLE / MUGWUMP
Cold
Black Basset Records
Quand un belge remixe deux belges, on obtient un morceau de plus de 7 minutes pour se déchaîner chez-soi ou sur le dancefloor si on est moins sages.
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]]>Cet article As A New Revolt : Et si c’était l’heure de se bouger? est apparu en premier sur Le Bombardier.
]]>Au départ à 5 et maintenant sous la forme d’un duo, Manu Barrero (chant, guitare, synthés) et Julien Lhuillier (batterie) ont pour objectif d’exprimer leur désaccord envers notre société. L’un chante fort dans son micro et l’autre tape sur sa batterie – fort également. L’idée est surtout de réveiller les consciences et pourquoi pas faire passer quelques messages. En tout cas, la musique qui accompagne ces textes et ces rythmes se veut directe et efficace.
A l’écoute de Speechless, on sent les influences évoquées par As A New Revolt, à savoir le punk hardcore et le hip-hop des 90’s. On ne peut s’empêcher de penser au fameux Sabotage des Beastie Boys et dans une suite assez logique penser aux Deftones, (Hed)P.E ou encore Primer 55. On est par ailleurs tentés de se replonger corps et âme dans la playlist Neo Metal de Metalorgie en souvenir du bon vieux temps. Oui, ça sent le vécu.
Les As A New Revolt ne sont pas nostalgiques pour autant. Il faut vivre avec son temps et en comprendre les prochains défis. On a profité d’avoir Manu Barrero au téléphone pour savoir ce qui les révoltent tant.
Si les gens bougent la tête et si nous on arrive à faire passer des messages, c’est génial.
Il y a une prise de conscience qui n’est pas spécialement prise à l’heure actuelle par rapport à plein de problèmes. On a tendance à endormir les gens.
On veut que ce soit la récréation quand on compose donc on fait ce qui vient naturellement au bout de nos doigts et de notre cerveau.
Je trouve que faire un album est un peu prétentieux parce que que c’est encore un peu jeunot comme projet.
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