Rep\u00e9r\u00e9 en 2017 avec son premier album \u00e9ponyme, l’auteur des “Primev\u00e8res des foss\u00e9s<\/a><\/strong>” aurait pu intituler son nouveau disque “Je t’ai bien eue” ou reprendre la fameuse citation de Nietzsche, “Ce qui ne me tue pas me rend plus fort” mais il a choisi de le nommer plus simplement Ren\u00e9<\/em>. Compos\u00e9 et enregistr\u00e9 lors d’une r\u00e9\u00e9ducation \u00e0 la suite d’une longue maladie, Rouge Gorge<\/a><\/strong> d\u00e9crit dans ces huit nouveaux titres les \u00e9tapes qui l’ont men\u00e9 vers la r\u00e9silience. Une exp\u00e9rience racont\u00e9e sous les prismes du r\u00e9alisme, de la m\u00e9lancolie et de l’autod\u00e9rision, des traits qui collent \u00e0 la peau de celui que certains d\u00e9signent d\u00e9j\u00e0 comme l’un des h\u00e9ritiers des jeunes gens modernes. <\/p>\n
En attendant la sortie de Ren\u00e9<\/em> pr\u00e9vue le 5 d\u00e9cembre sur les labels Dokidoki et Poussi\u00e8re d\u2019\u00c9poque, Rouge Gorge nous offre en exclu sur Le Bombardier, une session live pour le morceau “Jaloux”. Cach\u00e9 derri\u00e8re ses larges lunettes, le Rennais nous invite le temps d’un court piano-voix \u00e0 relativiser certaines situations et \u00e0 savourer l’instant T. Parlant de jeunes gens modernes, Rouge Gorge ouvrira pour Etienne Daho<\/strong> au Th\u00e9\u00e2tre National de Bretagne le 4 d\u00e9cembre pour la soir\u00e9e d’inauguration des 41\u00e8mes Trans Musicales de Rennes<\/a><\/strong>. Le rendez-vous est pris.
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