{"id":13318,"date":"2020-10-09T00:52:49","date_gmt":"2020-10-08T22:52:49","guid":{"rendered":"https:\/\/lebombardier.fr\/?p=13318"},"modified":"2020-10-09T00:52:49","modified_gmt":"2020-10-08T22:52:49","slug":"dans-le-radar-76-maxime-baudin","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/lebombardier.fr\/dans-le-radar-76-maxime-baudin\/","title":{"rendered":"Dans le radar #76 : Maxime Baudin"},"content":{"rendered":"

Notre bo\u00eete mail est pleine \u00e0 craquer de projets qui ne demandent qu\u2019\u00e0 \u00eatre d\u00e9couverts. Voici \u201cDans le radar\u201d, la rubrique o\u00f9 l\u2019on demande aux musiciens de se pr\u00e9senter \u00e0 partir de questions simples. Aujourd\u2019hui, c\u2019est au tour de Maxime Baudin<\/a><\/strong> de r\u00e9pondre au questionnaire du Bombardier.<\/em>
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Je m’appelle Maxime Baudin parce que…<\/h3>\n

Brad Pitt \u00e9tait d\u00e9j\u00e0 pris.
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Mon nouvel EP est…<\/h3>\n

Rose Plan\u00e8te<\/em> : c\u2019est une sorte de voyage pianistique \u00e0 travers un nouveau monde o\u00f9 il est imp\u00e9ratif de r\u00eaver.
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Si je ne devais choisir qu\u2019un morceau pour en parler, ce serait…<\/h3>\n

“Dune”, c\u2019\u00e9tait le morceau le moins abouti quand je suis arriv\u00e9 en studio. Je l\u2019ai bricol\u00e9 en mettant de la p\u00e2te \u00e0 fixe sur les cordes. J\u2019avais fait des bridges vraiment nuls alors j\u2019ai rajout\u00e9 une pointe d\u2019\u00e9lectro en second temps. Et maintenant j\u2019en suis tr\u00e8s fier, \u00e7a ressemble un peu \u00e0 un rapsodie ! \u00c7a lui a donn\u00e9 du caract\u00e8re.
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\u00c0 mon prochain concert il faut s\u2019attendre \u00e0…<\/h3>\n

D\u00e9couvrir de nouveaux morceaux, et red\u00e9couvrir les anciens. Mais j\u2019y pr\u00e9senterai surtout le vinyle de mon nouvel album, en \u00e9dition limit\u00e9e or !
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Mon souvenir le plus marquant en tant que musicien…<\/h3>\n

Est le jour o\u00f9 on a pos\u00e9 un piano sur une plateforme flottante sur un lac. Le soleil venait de se coucher, les gens \u00e9taient allong\u00e9s dans l\u2019herbe. J\u2019avais ouvert le piano, et mit une lumi\u00e8re dans les m\u00e9caniques. Et quand je me suis mis \u00e0 jouer, les grenouilles du lac se sont mise \u00e0 chanter\u2026 C\u2019\u00e9tait vraiment magique comme moment.
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Si je n\u2019\u00e9tais pas musicien, je serais…<\/h3>\n

Riche.
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Mon disque de chevet, c\u2019est…<\/h3>\n

Koyaanisqatsi<\/em> de Philip Glass<\/strong>. Cette BO est \u00e0 mes yeux la plus incroyable jamais compos\u00e9e. Elle te transporte dans l\u2019infiniment grand, et te fait instantan\u00e9ment poser des questions m\u00e9taphysiques. Mais je dois faire attention quand je l\u2019\u00e9coute, \u00e7a me met toujours dans un mood tr\u00e8s particulier, introspectif…
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En ce moment j’\u00e9coute en boucle\u2026 <\/h3>\n

“Horse” de Salvatore Ganacci<\/strong> : Ce n\u2019est pas vraiment du piano\u2026 C\u2019est une sorte de techno hard bass \u00e0 150 bpm qui te donne envie de sauter et te d\u00e9fouler. Si j\u2019ai un coup de mou, je m\u2019\u00e9coute \u00e7a et je me mets \u00e0 sautiller chez moi comme un d\u00e9lur\u00e9.
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Mon r\u00eave ultime, c\u2019est\u2026 <\/h3>\n

Composer des musiques de film : trouver ce genre de m\u00e9lodies qui donne une vraie identit\u00e9 \u00e0 l\u2019univers d\u2019un film.
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