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En cinq ans d’existence, le quintet s’est permis d’affiner son identité sonore dans les moindres détails. Le rock vous ennuie? Divergences internes ou multiples influences, The Cats Never Sleep ne propose pas un seul morceau identique sur son album. On pourra donc se prélasser sur les sensuels “Kinshasa Düsseldorf” et “Parasol”, s’évader sur “Les Cow – Boys” en français, pogoter sur l’énergique et instrumental “Vishnou” et si vous n’êtes pas encore convaincus, rendez-vous sur le déchaîné “Hummus”.
Choisissez donc votre ambiance favorite et laissez-vous faire, The Cats Never Sleep s’occupent de tout.
Massage est disponible via Le Pop Club Records.
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]]>Cet article DBFC, l’importance du club est apparu en premier sur Le Bombardier.
]]>Derrière ces 4 lettres mystérieuses, un quatuor-club mené par les deux têtes pensantes David Shaw et Bertrand Lacombe. Le premier est originaire de Manchester, le deuxième de Bordeaux et ont commencé leur collaboration sur scène pour David Shaw and The Beat. Entre l’alchimie de leurs univers musicaux respectifs et leur complémentarité en studio comme sur scène, DBFC est né.
C’est d’ailleurs à cet endroit précis que DBFC prend tout son sens. En envoyant leurs morceaux électro-rock où hommes et machines se répondent dans un joyeux bordel, le groupe cherche à faire ressentir à son public un état de transe générale : un moment où le temps se suspend à la boule à facette et où plus rien ne compte.
New Order, Happy Mondays, LCD Soundsystem, The Chemical Brothers : citez-les tous. Cachés derrière leurs lunettes noires, les DBFC signent avec “Jenks” un album universel destiné à quiconque voudra bien entendre ce message de liberté. Un album qui décomplexe notre époque et dont on avait fort besoin.
Nous les avons rencontrés à l’occasion de leur concert à la Maroquinerie le 31 mai dernier afin d’en apprendre davantage sur la composition de cet album.
Bertrand Lacombe : On a pu tester nos morceaux en live.
David : Le meilleur test est sur scène. On a un album qui sonne du début jusqu’à la fin. Ce n’était pas prémédité, c’est plutôt en effet un cheminement normal. Ce n’est pas pour dire qu’on fonctionne à l’ancienne mais c’est cool de faire de la scène et de pouvoir tester les morceaux avant de les revoir en studio. Pour conclure, tu peux passer beaucoup de temps en studio et te retrouver sur scène avec des morceaux qui sont un enfer à jouer.
Bertrand : Il faut raconter que la scène de Manchester a tout une histoire et ce qu’on aime c’est le moment où il y a eu cette rencontre entre la house music et le rock. Ça s’est fait dans le temps, sur 10-15 ans.
David : Et ce n’est pas lié qu’à Manchester.
Bertrand : Nous ce qu’on aime, plus que de dire qu’on fait du “Manchester”, c’est un état d’esprit qui réussit à faire cohabiter ces différents styles, les marier et jouer avec.
Il y a énormément de choses dans cet album qui sont un résultat d’événements tragiques qu’on a tous vécus et d’autres plus personnels pendant cette période d’écriture.
Un jour on était tous les deux dans le studio et on a eu ce moment où tu débordes d’émotions, où tu as les yeux gorgés d’eau et on s’est dit “il faut qu’on s’aime là”. Ça paraît peut-être naïf, con ou ce que tu veux mais c’est finalement le truc qui te rattache à la fin de la journée. Si tu n’as pas d’empathie, si tu n’as pas d’amour, ce sont des thèmes universels, ce sont des trucs dont toutes les chansons parlent tout le temps mais c’est notre point de vue.
Bertrand : C’est vrai que faire cet album ça nous a beaucoup aidé finalement. C’est à dire qu’on est passés à travers tout ça.
C’était un exutoire pour nous.
On n’en parle jamais directement mais on s’en est vraiment imprégnés.
Bertrand : Sur cet album, même si plusieurs morceaux peuvent paraître plus formatés que d’autres, il y en a de 3-4 minutes dans un format plus pop et d’autres durent jusqu’à 8 minutes dans un format plus déconstruit. Mais quoi qu’il arrive il y a quelque chose dans la composition et dans l’écriture de très spontané. C’était important pour nous, ça nous fait kiffer.
David : Les gens nous font souvent la remarque que la musique qu’on fait a l’air très facile.
C’est très facile parce que ça marche entre nous.
La réalité qu’on se surprend constamment depuis notre rencontre. Il n’y a jamais de moment où on ne sent pas ce que fait l’autre.
En France, il y a plus une culture de la fête.
Dans un concert, il faut que les gens tapent dans leurs mains, qu’ils tapent du pied. En Angleterre tu sens davantage la culture et l’écoute. Ce qui nous fait délirer, c’est de jouer n’importe où, dans n’importe quel pays et n’importe quelle ville et de choper des gens et de les amener avec nous. Peu importe qui on a devant nous.
Bertrand : On n’a plus de Oasis aujourd’hui.
David : Oui voilà, des trucs dans cette tradition, des Led Zep, des Iggy Pop. On est plus dans des groupes qui font des super trucs mais parce que notre époque, parce que fucking Internet en fait.
Bertrand : Et c’est aussi cyclique, j’ai un souvenir en France notamment à la fin des années 90 où le rock était fini, tout le monde ne jurait que par la French Touch. Tout d’un coup les Strokes sont arrivés avec leur album et tout le monde a halluciné. Du coup il y a eu un retour du rock. Je ne crois pas trop à la fin du rock.
Aujourd’hui dans la musique électronique, il y a un espace de revival où des gens ont l’impression qu’il y a des choses neuves alors qu’en fait c’est juste un recyclage de ce qui s’est fait il y a 20 ans.
C’est comme ça, la musique est cyclique et peut être qu’il y a un peu moins de groupes phénoménaux qui vont mettre parterre le monde entier mais ça arrivera peut être demain, je ne sais pas.
David : Bah voilà, c’est nous, c’est juste une question de temps. On assume.
Bertrand : Pff! Alors ça, mais vraiment… La basse.
Bertrand : Justement dans les derniers groupes rock, formation basse batterie guitare très simple, qui je trouve a apporté quelque chose de frais c’est Girl Band.
David : Ah oui! Bien sûr!
Bertrand : Parfois c’est tellement violent, c’est du bruit, mais il y a un truc dans ce groupe et dans ce qu’ils proposent que j’ai trouvé hyper frais un peu comme SUUNS justement ou The Oh Sees. On peut encore apporter et proposer des choses originales.
Un petit mot sur vos derniers clips, “Jenks” et “Disco Coco”?
Bertrand : On va faire un autre clip sur “Disco Coco” mais cette première vidéo nous a bien fait marrer. Je pense que dans la musique et dans l’art en général il faut toujours tracer une ligne droite dans ton concept et dans ton idée. Il doit y avoir quelque chose de spontané et qui résonne. La vidéo de “Disco Coco” s’est faite en deux secondes avec un iPhone et Boomrang mais l’idée du clip et ce que ça dégage correspond au morceau.
David : On n’était pas partis pour faire ça mais Marco Dos Santos est un super pote à nous, super photographe et réalisateur, super artiste, on le dit. Il n’y avait aucune prétention. Pour “Jenks”, on avait toute une idée à la base qu’on voulait et qui était importante pour nous et on est tombés sur quelqu’un qui n’a pas fait le clip pour nous mais pour lui.
Poni Hoax c’est le groupe français dont on se sent le plus proche finalement.
On se sent plus proche d’eux que de Air, c’est sûr et certain.
David : C’est clair. Même si on ne fait pas forcément la même musique mais on préfère la démarche et les morceaux. Le premier album de Poni Hoax est super mais le deuxième est juste incroyable. Et bosser avec Fred ça a été un plaisir. Il a saisit notre vision, il est venu avec la sienne et il y a un eu super dialogue parce qu’il est aussi passionné que nous.
Bertand : C’est quelqu’un de doux qui a su canaliser notre énergie.
David : Et il a des yeux magnifiques. On finira là-dessus : le regard de Fred Soulard. Ça c’est de la conclusion.
Photo à la une : Jakob Khrist
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]]>Le premier est compositeur et producteur parisien, la deuxième est chanteuse et bassiste du 1969 Club. A eux deux, ils forment le duo Cosm & Hermann Lopez et signent avec “Caesar” la première sortie du jeune label WANE Records (pour We Are Not Entertainment) fondé par Cosm en personne.
Le clip qui l’accompagne est également réalisé par ce dernier, Florent Collignon dans le civil et décidément multi-casquette, avec les volontés précises de tourner en dérision la sexualisation des corps par l’image et d’interroger sur les concepts de fantasme et de malaise. Tout un programme en moins de quatre minutes sur un air électro-pop furieusement 80’s.
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]]>Cet article Olaby, nouvelle fleur de saison est apparu en premier sur Le Bombardier.
]]>Avec son bien-nommé Mouvant enraciné dans un univers dream-pop, Olaby dessert un vaste panel d’émotions, des souvenirs de l’enfance à l’appel à la résilience sur les déterminés “Mouvant” et “Moss”. Dans cet EP crépusculaire, Olaby déploie une sensibilité à fleur de peau à travers une performance passionnée appelant à nos meilleurs souvenirs féminins : Björk, Tori Amos ou encore Susanne Sundfør pour l’inspiration nordique. Le prenant “Dear Deer” quant à lui n’est pas sans rappeler Emilie Simon sur les cendres de son Franky Knight.
Également généreux en matière de micro-détails électroniques, Mouvant ravie sur un même pied d’égalité les amateurs de pop légère avec “Sliky Leiky” célébrant la joie de croire en l’inconnu que les amateurs d’une musique bien ficelée, de la technicité vocale surprenante aux trouvailles mélodiques. Olaby signe avec Mouvant un premier EP prometteur et ravissant alliant finesse et efficience.
Mouvant est disponible depuis le 16 avril.
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]]>Cet article En écoute : S/T, le mini-album de Promise Keeper est apparu en premier sur Le Bombardier.
]]>Auparavant songwritter du groupe américain Mood Rings, William Fussell a pris un aller simple pour Londres et n’en est jamais parti. Le début d’une nouvelle aventure nommée à juste raison Promise Keeper et pour laquelle il a pris le temps nécessaire, presque deux ans, pour façonner ces 8 morceaux dont 2 en featuring avec ses compagnons de route, Better Person pour le morceau d’ouverture “My Host” et Tops pour le clubesque “Side Decide”.
S/T est donc un peu plus long qu’un EP et un peu moins qu’un album : certainement trop court. A travers ces morceaux, William Fussell expérimente la force de la pop pour l’extraire à son essentiel : des love songs attirantes et marquantes aux humeurs variantes. Sur une musique empreinte du passée, si les spectres des Rapture, Beck et autres créatures apparaissent furtivement, S/T n’oublie pas d’être actuel en rendant compte d’une production électronique soignée et efficace.
On peut multiplier les dénominations, dream-pop, electro-pop, charismatique, sombre, aucun ne saurait définir exactement ce guide d’électronique piquée et de funk spatial. Promise Keeper signe un mini-album à la fois intime et universel, une belle gourmandise pour les beaux jours qui viennent. Il ne dit rien sur notre monde mais il en dit suffisamment sur l’humain – à chacun de l’interpréter à sa guise en se lovant dans son atmosphère feutrée.
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]]>Cet article Des places à gagner pour la soirée Tonus Perpetuus avec Xamãn, Perrine en morceaux et Chaos E.T. Sexual le 18/05 à l’Olympic Café [Fermé] est apparu en premier sur Le Bombardier.
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Xamãn, ce sont des enchantements vibrants qui puisent leurs sources parmi les sons électroniques, minimalistes et répétitifs. Une parenthèse curieuse et exotique pour les aventureux du soir.
Spiritisme toujours avec Perrine en morceaux dont le premier album Rien est paru l’année dernière sur Lentonia Records. A travers ses morceaux, Perrine cherche à mettre le doigt sur une recette unique de la pop au gré de ses expérimentations et de sa voix qui nous embarquent dans son univers original et élégant.
Pour palier à l’obscurité de leur son, Chaos E.T Sexual propose des cassettes colorées. Sur leur dernier album en date Ovna, le trio propose en plus d’une certaine pénombre un son puissant et attractif nous incitant à céder à ces riffs acérés.
Pour participer :
Plus d’infos sur l’event :
https://www./events/269726170154677/
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]]>Cet article Gagne 2×2 places pour Das Mörtal + Dukes Of Paris + Jeopardie à La Boule Noire le 18/05 [Fermé] est apparu en premier sur Le Bombardier.
]]>Pour participer :
Plus d’infos sur l’event :
https://www./events/239324909810765/
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]]>Cet article En écoute : Modern Life, Vol. 1, le nouveau disque pop de Satellite Jockey est apparu en premier sur Le Bombardier.
]]>Des disques pop, il en sort des bons quasiment toutes les semaines. Des disques pop sur lesquels on est sûrs de reprendre notre pied 10 ans après comme à la première écoute, il y en a clairement moins. Cet album de Satellite Jockey en fait déjà résolument parti.
D’abord piloté depuis Brest par Rémi Richarme, c’est à Lyon que le groupe prend sa forme actuelle et son essor. Six musiciens dont certains se sont déjà fait remarqués (Kcidy, François Virot et Sierra Manhattan) œuvrant à la tâche souvent risquée de composer une musique pop insouciante et novatrice, loin des clichés qui la caractérisent. En cela, Modern Life, Vol. 1 est un disque composé de onze morceaux qui traversent un spectre large d’émotions. On lui notera quelques points culminants comme le majestueux “Opacity” ou le délicat “United Nations”. Brodé avec soin et avec le recours d’influences plutôt bien digérées : d’inspirations 60’s et 70’s bien sûr, des Kinks certainement et de David Bowie probablement. Le sextuor lyonnais est parvenu à concevoir un album pour les moments hors du temps, les heureux comme les plus mélancoliques, mais surtout ceux où l’on apprécie prendre un peu de hauteur. Le pari réussi d’une envolée spatiale sans encombre.
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]]>Cet article John & The Volta : “Je me suis souvent senti hors-cadre” est apparu en premier sur Le Bombardier.
]]>Il y a eu le mythe de l’androgyne par un dénommé Platon. Celui qui disait que le troisième genre humain n’existait plus s’est définitivement trompé. A l’origine de cette démonstration, David Bowie fait figure de précurseur. En 1998, il se retrouvait aux côtés de Brian Molko, autre figure de référence, qui s’affichait une rose entre les lèvres pour “Without You I’m Nothing”
Il y a maintenant John and The Volta qui vient porter sa pierre à l’édifice. C’est de nuit que le charismatique Jonathan Ducasse de son vrai nom a composé son premier album Low Life. Composé de neuf titres, le bordelais y affirme son identité ravageuse tout du long. Si l’on lui reconnaît des airs de Thom Yorke sur les fédérateurs “(Not) Far From Love” et “Be There” qu’il cite lui-même pour influence, John and The Volta ne se contente pas d’imiter mais innove. Sans prétention, il se déjoue des codes d’une musique pop électronique au détour d’un riff de guitare ou de sa voix sulfureuse pour finalement évoquer l’essentiel : sa sensibilité et sa fragilité.
Low Life est emprunt de liberté où John and The Volta confirme son talent tout en nous laissant entrevoir son intimité. On ne ressort pas totalement indemne de l’expérience : l’album parvient à nous submerger dans une atmosphère addictive où les morceaux pop comme “Bad Dreams” ou “Paralyzed” cotoient des morceaux plus électroniques et plus stricts, le tout nous laissant à fleur de peau avec une irrémédiable envie d’appuyer une nouvelle fois sur play. Nul doute que John and The Volta va faire chavirer de nombreux cœurs cette année et que Low Life s’inscrit d’ores et déjà comme l’un des meilleurs crus de cette année. On a posé quelques questions à John – sans ses Volta – pour en savoir davantage sur son univers.
La nuit, tout prend une autre forme : les bruits, les sons, les mots.
J’ai longtemps été très timide, je me suis souvent senti hors-cadre, à vivre les moments à coté des autres et non avec eux.
Paralysé par trop d’émotions, on se crée un autre monde, plus intérieur, plus nocturne, plus noir aussi. “Low Life” c’est ça, c‘est cette “vie souterraine” qui se cache, sous la peau, sous les artifices. Là où les émotions sont brutes et sèches.
La chanson “Low Light” est un interlude instrumental dans l’ album. Elle a cette teinte clair obscur, un piano fantôme perdu dans le bruit ambiant.
Ça a été comme un choc d’abord puis un déclic, une libération. Des “personnages” comme David Bowie m’ont permis d’assumer cette part de moi.
On tue la créativité et l’expérimentation avec un tel discours.
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]]>Cet article Dukes Of Paris : “On a constaté qu’on était un groupe électro” est apparu en premier sur Le Bombardier.
]]>Fondé par Popy (guitare, chant, machines), également guitariste de No One Is Innocent depuis Propaganda, et de Brice (batterie, chant), leur esprit grunge inspire des titres pop/rock et électroniques dans la lignée de Phoenix et de Shakaponk. De leurs influences qui vont des Deftones à Smashing Pumpkins en passant par Pink Floyd ou Nirvana, le duo puise une énergie que rien ne semble arrêter.
Avec ces mélodies pop et sucrées, la question de la musique électronique comme support d’une formation rock vient nous effleurer. Si à priori les basses et autres synthés qui habillent le son des Dukes Of Paris ne partent pas d’une volonté mais d’une nécessité, il est tout de même intéressant de noter la place prépondérante qu’elle prend dans le projet. Quoi qu’il en soit, Dukes Of Paris nous entraînent avec des morceaux qui mêlent refrains pop, furieuse énergie rock et électronique dansante, de quoi en profiter pleinement à l’occasion de leur prochain concert le 18 mai à La Boule Noire avec l’excellente compagnie de Das Mörtal.
Blank Title en a bien évidemment profité pour leur poster quelques questions.
On a un esprit grunge qui bave surtout en concert.
Brice : On a constaté qu’on était un groupe électro.
On aime bien l’efficacité des chansons. Parvenir à une structure de chanson qui marche vraiment bien, c’est le plus difficile.
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